Mince, j’avais percé la deuxième roue de mon vélo.
Bon il fallait que je la change maintenant.
Seulement, j’en avais marre moi de mettre des rustine sur ma chambre à air, voir carrément de la changer.
dévisser la roue, chercher le troue dans une bassine d’eau douce grâce au bulle d’air frais, mettre une rustine tout en veillant a ce qu’elle soit bien fixé, sinon changer la chambre a air. remettre la roue, la revisser, ….
Bref, une opération qui une fois répéter 10 fois commence a sérieusement lassé.
En plus que c’était pas donné, comme produit et toujours obliger d’aller au Decathlon de la Madelaine à pieds pour acheter les affaire de rechange, avouer que c’est pas glamour.
Du coup, j’ai eu une meilleur idée, si je mettais quelque chose de plus résistant dans la chambre à air que de l’air?
Quel bonne idée, pourquoi ne pas mettre du mortier dans la chambre à air ? cela serait plus résistant en cas de crevaison. Non?
Je pris un cutter et incisât la chambre à air dans le sens de du cercle, remis la chambre a air incisé sur la roue, et je commencais avec l’aide d’une truelle à enfoncer le mortier dans la chambre à air.
Je remis le pneu, J’attendis que cela sèche, je répéta la même opération sur la seconde roue.
Cela marcha, je pus rouler avec mon vélo une heure a tout casser.
Il y a fort longtemps, dans ma jeunesse, en vacance en Corse.
Je participai tout les jours a un cours de bateau a voile mais avec moteur aussi.
c’est plus facile a conduire quand y a un moteurs.
J’avais pris sur moi de belle lunette de soleil RayBan, et soudain il me pris l envie de regarder la belle mer de Corse en profondeur, donc je penchais ma tête le plus possible ma tête vers l’eau.
Jusqu’à ce que soudain, je vis les lunettes, que j’avais pris sans autorisation a son propriétaire premier, c’est à dire mon frère.
Mince, bon ba j allais pas non plus me noyer pour les récupérer, se sera pour les poissons.
Passons à autre chose, y a pas mort d’homme.
Seulement, une femme qui participais aussi à l’aventure, avais remarquer ma maladresse.
Elle me racontât mon avenir, que j’allais prendre des cours de plongé, revenir a cet endroit et rechercher au fond de la mer les lunette en tenus d’homme grenouille.
Moi je me disait mais qu’est ce que c’est que cette folle dingue. Genre je vais faire ca.
Pas que cela a faire.
J’avais beau essayer de la stopper de lui dire plus ou moins poliment qu’elle affabulai.
Elle persister dans son histoire louffoque, me racontant comment j allais finir par les recuperer.
Je compris bien plus tard qu’elle se parlais à elle même, qu’elle s’imaginer toute cette histoire et qu’elle romantiser l’histoire d’un homme qui perdis ses lunette dans la mer et qui après de longue année a devenir un homme est venus les récupérer.
Bon, depuis tout ce temps elle sont encore dans l’eau.
Je me baladais tranquillement, rue de Lille à Paris, 7ième.
Je regardai dans une bijouterie les prix des bagues en argent, que je trouvais bien excessif.
Bien que travailler de main d’orfèvre.
On imaginais dans la boutique un artisan doué de ses main.
Je me remis à marcher, au hasard.
Je repensais à mon ex, en regardant la bague en argent qu’elle m’avait offerte il y a assez longtemps maintenant.
J’était presque un ado bien que jeune adulte à cette époque.
Je me demande combien la bague qu’elle m’ a offert à couté.
J’espère pas aussi cher que les bague en exposition dans la vitrine.
Ce serait ballot, pour me quitter peux de temps après.
Remarque, peut être voulait elle se persuader que je garde du bout d’un doigt un souvenir d’elle.
Mais comment être sur que la fameuse bague est bien en argent?
Je me rappellais des gens qui morder des pieces pour voir si elles etaient vrai.
Je n’ai pas envie de l’abimais, ni de me casser une dent.
En arrivant près de la scène, je me rappelle ses jeunes youtubeurs qui jettent attacher a une corde un aimant dans une rivière, un lac , un fleuve ou tout autre affluent ou récipient d’eau dans le but d’en sortir tout objet métallique de quelque valeurs qu’il soit.
Je me rappelle que l’argent n’est bien entendus pas du tout aimantable.
Une des raison pour laquelle je me fatiguerait pas à m’exerçais a cet pratique, le métal rare, noble et pur n’étant pas aimantable.
Au pur hasard de mes déambulation, je croise un groupe de ces jeunes qui pratique cet pèche aimanté.
Je leurs souhaite le bonjour, on parle un peux, je leur demande d’ou ils viennes, leurs passion, petit à petit la glace est brisé.
Je leur explique mon envie de tester l’indice d’aimantabilité de ma bague et ils me prêtent volontiers leur aimant double face latéral 800 kilos.
Bien évidement la bague est de suite attiré par l’aimant, ce n’était bien évidemment pas une bague en argent véritable.
Pour vous dire l’embarras dans lequel j’était, je ne pouvais plus enlevé l’aimant du a la force exercer par l’aimant sur ma bague qui retenait mon doigt.
Je me suis fait aidé par les pécheurs à l’aimant qui tirant de toute leurs forces sur l’aimant par la corde d’un coté, tandis que moi tirant la bague sur mon doigt avec l’aide de mon autre main, on réussi à me libérer, non sans douleurs.
Le plaisir d’être libéré fut assez éphémère, car voyez vous, que ce passe t’il lorsque l’on tire comme un forcené sur un anneau en argent qui n’est pas en argent?
hé bien, l’anneau, sous la pression de l’aimant, c’est déformer pour s’aplatir, se refermant capricieusement sur mon doigt.
Ainsi voulant me débarrasser d’un potentiel souvenir physique en toc de mon ex, celui-ci c’était tel un Horcruxe défendus, persistant à vouloir rester ancré.
Aurais je donner raison au platiste? un rond sous l’effet du magnétisme s’aplatirait il ?
Maintenant fallait bien entendus chercher a enlever la bague et lui redonner sa forme première.
Avec un amis, que j’allais trouvé non loin de la, rue Robert Esnault-Pelterie, on donnas des coup de marteau sur la bague pour lui redonné forme première.
Quand nous jugeons qu’elle avais récupérer une forme assez ovale, nous passons de l’huile sur mon doigt, ensuite, nous faisions passé deux anneaux porte-clé, et mon amis tira sur la bague avec l’aide des porte clé.
Au bout de dix minute de lutte acharné et de douleur digitale, me voila enfin libéré.
Au final, je garda l’anneau que mon ex m’avais au faire mais caché au fond d’une boite a bijoux (la boite à bijoux de ma femme, bien sur).
Le 25 octobre 2021, me prit l’envie de visiter le fameux et odorant musée des égouts de Paris.
Situé à côté du pont de l’Alma, le cadre fut idyllique.
Un ciel bleu presque sans nuage, un soleil présent et agréable malgré un mois d’octobre, il ne faisait ni trop chaud ni trop froid.
La température idéale qui te fait apprécier la douce caresse du soleil ainsi que la caresse d’une douce brise d’octobre.
De là où on était, on apercevait notre future destination après avoir visité le musée.
Une terrasse fleurie flottante sur la Seine avec des chaises pour flâner au soleil.
Nous entrons dans le musée, tout paraît neuf, normal, il vient d’être rénové, expliquant ainsi mon envie d’y aller faire un tour.
Nous achetons nos billets pour la modique somme de 9 euros et entrons dans l’antre de la bête.
Le voyage commence, à peine commençons-nous à descendre dans les profondeurs, qu’une petite odeur qui n’est pas une odeur de rose vient attaquer nos délicats odorats.
La première partie fut la présentation des égouts de Paris depuis leur création ainsi que les grands noms qui ont participé à ce projet de prouesse d’ingénierie.
On put entrevoir ainsi la vie des Parisiens d’antan, avec leurs problèmes de sanitaires, et des courageux volontaires qui n’ont pas hésité à travailler main nue dans les égouts.
Contre toute attente, on vit qu’à l’époque de la création des égouts, les bourgeois aimaient se balader dans les égouts. Ainsi, un train et un bateau furent mis en place dans les égouts pour permettre aux curieux de se balader dans les égouts.
Leur curiosité fut la même que la mienne, impossible de savoir, il y a des créations qui continuent d’attiser les curiosités de génération en génération.
Bizarrement, je ne crois pas avoir lu un livre de cette époque sur le romantisme contant une romance basée sur cette odorante ballade.
Puis ce fut la découverte odorante et nauséabonde des égouts en eux-mêmes.
Mon compagnon m’avertit avec un geste de dégoût, avoir vu la chose flotter.
Que nenni, me disais-je dans ma tête, il ne nous laisserait pas voir cela, et encore moins à des touristes.
Ainsi je décidai de continuer mon périple dans l’antre des odeurs.
À un moment donné, on arriva sur une partie où le sol était une grille au-dessus du tumultueux courant d’eau des égouts.
Et c’est ainsi que sous mes pieds, je pus les voir flotter paresseusement dans le cours d’eau.
Naviguant vers leur destination finale tels un destin funeste et sans retour.
