Musée des égouts de Paris

Voyage au bout des Sanitaires

Le 25 octobre 2021, me prit l’envie de visiter le fameux et odorant musée des égouts de Paris.

Situé à côté du pont de l’Alma, le cadre fut idyllique.

Un ciel bleu presque sans nuage, un soleil présent et agréable malgré un mois d’octobre, il ne faisait ni trop chaud ni trop froid.

La température idéale qui te fait apprécier la douce caresse du soleil ainsi que la caresse d’une douce brise d’octobre.

De là où on était, on apercevait notre future destination après avoir visité le musée.

Une terrasse fleurie flottante sur la Seine avec des chaises pour flâner au soleil.

Nous entrons dans le musée, tout paraît neuf, normal, il vient d’être rénové, expliquant ainsi mon envie d’y aller faire un tour.

Nous achetons nos billets pour la modique somme de 9 euros et entrons dans l’antre de la bête.

Le voyage commence, à peine commençons-nous à descendre dans les profondeurs, qu’une petite odeur qui n’est pas une odeur de rose vient attaquer nos délicats odorats.

La première partie fut la présentation des égouts de Paris depuis leur création ainsi que les grands noms qui ont participé à ce projet de prouesse d’ingénierie.

On put entrevoir ainsi la vie des Parisiens d’antan, avec leurs problèmes de sanitaires, et des courageux volontaires qui n’ont pas hésité à travailler main nue dans les égouts.

Contre toute attente, on vit qu’à l’époque de la création des égouts, les bourgeois aimaient se balader dans les égouts. Ainsi, un train et un bateau furent mis en place dans les égouts pour permettre aux curieux de se balader dans les égouts.

Leur curiosité fut la même que la mienne, impossible de savoir, il y a des créations qui continuent d’attiser les curiosités de génération en génération.

Bizarrement, je ne crois pas avoir lu un livre de cette époque sur le romantisme contant une romance basée sur cette odorante ballade.

Puis ce fut la découverte odorante et nauséabonde des égouts en eux-mêmes.

Mon compagnon m’avertit avec un geste de dégoût, avoir vu la chose flotter.

Que nenni, me disais-je dans ma tête, il ne nous laisserait pas voir cela, et encore moins à des touristes.

Ainsi je décidai de continuer mon périple dans l’antre des odeurs.

À un moment donné, on arriva sur une partie où le sol était une grille au-dessus du tumultueux courant d’eau des égouts.

Et c’est ainsi que sous mes pieds, je pus les voir flotter paresseusement dans le cours d’eau.

Naviguant vers leur destination finale tels un destin funeste et sans retour.

Le retour à l’air libre fut libérateur.

Golang une fonction qui se returne à l’infini

fonction qui se renvoie elle même

type AB func()AB

package main

type AB func() AB

func main () {
var obj AB
obj = func() (ab AB) {
print(« ee »)
ab = obj
return
}
obj()()()()()()()()()()()()()()()()()()()()
}

En golang faire une fonction qui se renvoie elle même, peut sembler peut évident voir impossible à mettre en place. Car chaque return dois renvoyer une fonction qui return une fonction qui return une fonction.

Bref une histoire de pouper russe qu’il faudrait écrire à la main une infinité de fois.

package main

func g() (func()(func ()(func()(func()(…….)))))

func main () {
}

Heuresement, en Golang vous pouver créer un type qui pourras lui même se retourné.

type montype func()montype

ici on créé un type montype qui est une fonction qui return une variable de type montype.

Ainsi on évite d’écrire une une poupé russe infinie. et l’on peut même changer la function à condition que celle-ci return le type montype.